Cinéclub : Miracle à Milan de V. De Sica Jeudi 2 février à 19h30

Miracle à Milan, de V. De Sica et C. Zavattini (Italie, 1h35min)

Miracle à Milan (Miracolo a Milano) est un film italien de Vittorio De Sica et Cesare Zavattini, sorti en 1951. Conte poétique dans lequel s’affrontent pauvres et riches. Les clochards d’un bidonville de Milan sont menacés d’expulsion par un homme d’affaires qui a découvert du pétrole sur leur terrain. Ce film a obtenu la palme d’or au festival de Cannes en 1951.

ouverture du local à 17h
prochaine permanence jeudi 16 février de 17 à 20h.

En Janvier au Kiosque

Régulièrement au  Kiosque
Atelier de LSF : jeudi 5 Janvier à 18H
Cours de francais : le lundi à 18H30
le samedi à 11H30
Cours d’arabe : le mardi à 18h
Assemblée du kiosque vendredi 13  à 18H30
pour proposer un atelier ou une activité.

Dimanche 15 Janvier à 13H :
Lecture en arpentage du livre Le passé, modes d’emploi d’Enzo Traverso.

L’industrie culturelle, les musées, les commémorations, les programmes éducatifs contribuent à faire de la mémoire du passé une sorte de religion civile de nos sociétés contemporaines. Cette religion remplit souvent une fonction apologétique:conserver souvenir des totalitarismes pour légitimer l’ordre libéral, occuper les territoires palestiniens pour empêcher un nouvel Holocauste, envahir l’Irak pour ne pas répéter Munich… Mais il est d’autres chemins de la mémoire, plus discrets, parfois souterrains, décidément critiques, qui transmettent le fil des expériences de l’égalité, de l’utopie, de la révolte contre la domination. Confrontée à un siècle de feu et de sang, la mémoire revendique ses droits sur le passé. Cette émergence de la mémoire a suscité un débat intellectuel, dont Enzo Traverso reconstitue ici les grandes lignes, de Halbwachs à Ricoeur, de Benjamin à Yerushalmi. A l’aide de nombreux exemples tirés de l’histoire du XXe siècle- fascismes, Shoah, colonialisme, ce livre met en lumière les fils qui relient les différents segments de la mémoire collective,l’écriture historienne du passé et les politiques de la mémoire.

L’arpentage est une méthode de découverte à plusieurs d’un ouvrage, en vue de son appropriation critique, pour nourrir l’articulation entre pratique et théorie. C’est une méthode de lecture collective issue de la culture ouvrière (cercles ouvriers) puis réutilisée pendant la seconde guerre mondiale par des résistants.

Projections du Cinéclub :
Jeudi 12 Janvier à 19H (le film est long, on commencera à l’heure !)
Mademoiselle de Park Chan-Wook (Corée du Sud, 2h25min)

En pleine colonisation japonaise en Corée, dans les années 1930, la riche japonaise Hideko embauche la jeune servante coréenne Sook-hee dans un gigantesque et sombre manoir appartenant à son oncle tyrannique ; elle ignore que cette dernière ourdit des plans maléfiques organisés avec un escroc qui se fait passer pour un comte japonais.

Jeudi 26 Janvier à 19H :
Bound de Lilly et Lana Wachowski (USA, 1h48min)

Violet, maîtresse d’un truand spécialisé dans le blanchiment d’argent pour la mafia, se prend d’une passion violente pour Corky, voleuse, en liberté provisoire après cinq ans de prison et qui repeint l’appartement de ses voisins. Violet décide de séduire Corky. Elle ne manque pas d’arguments car son compagnon cache dans leur appartement deux millions de dollars.

Permathème samedi 10 décembre 16h. (Nos ?) stratégies vs. No strategy ?

Permathème samedi 10 décembre à 16h :

(Nos?) stratégies vs. No strategy vs. No strategy

Se vautrer moins fort quand ça  pète.

Quelles pistes suivre quand les lignes se brouillent ou face aux injonctions à choisir son camp ? D’ailleurs quel est « notre » camp, et existe-t-il un « nous » politique ? Quelle alternative au « nous » originel, aux généalogies politiques enfermantes ou à l’essentialisme stratégique ? comment les écarts et l’hétérogénéïté peuvent-ils être fructueux ? Comment disputer sans céder au conflit systématique ? Comment se situer sans être assigné.e ni assigner ? Enfin, comment résonnent ensemble nos corps et les discours en circulation pour produire une politique parcellaire qui ne cartographie pas tout ?

Cette permathème sera l’occasion d’affiner nos points de vue, d’éclaircir notre pensée, d’expliciter nos positions pour répondre à ces questions de la manière la plus politique possible.

 

« On n’est pas une cellule ou une molécule – ou une femme, un colonisé, un manœuvre et ainsi de suite – parce qu’on pense voir, et voir depuis ses positions d’un œil critique. « être » est beaucoup plus  problématique et contingent. Aussi on ne peut déménager vers quelque point d’observation que ce soit sans devenir responsable de ce mouvement. La vision est toujours une question du pouvoir de voir – et peut-être de la violence implicite de nos pratiques de visualisation. […] C’est également valable quand on témoigne depuis la position de « soi même ». »

Dona Haraway, Savoirs situés : la  question de la science dans le féminisme et le privilège de la perspective partielle, 1988

Les perm’à’thème sont des moments pour partager nos connaissances et questionnements, réfléchir à plusieurs sur des sujets politiques et remettre en cause ce monde. Pour enrichir le débat et affûter nos critiques, chacun-e peut venir avec un bout de texte à lire ou à faire lire, avec la langue bien pendue ou au contraire avec l’envie de la laisser dans sa poche, avec les oreilles grandes ouvertes et l’envie d’affiner ses arguments.

 

En novembre au Kiosque

 

Des permanences :novembre au kiosque
jeudi 17 à 17h,
mercredi 23 à 17h
et jeudi 24 à 18h

ateliers de français le lundi à 18h30 et le samedi à 11h30

Assemblée du kiosque le vendredi 18 à 16h30

Des perm’à’thème
Les perm’à’thème sont des moments pour partager nos connaissances et questionnements, réfléchir à plusieurs sur des sujets politiques et remettre en cause ce monde. Pour enrichir le débat et affûter nos critiques, chacun-e peut venir avec un bout de texte à lire ou à faire lire, avec la langue bien pendue ou au contraire avec l’envie de la laisser dans sa poche, avec les oreilles grandes ouvertes et l’envie d’affiner ses arguments.

jeudi 17 novembre à 18h : Perm’à’thème contre la démocratie
On entend souvent qu’en réalité, nous ne serions pas en démocratie, que la Vraie Démocratie est à construire, et que le(s) gouvernement(s) ment. Et pourtant… c’est une des particularités de la démocratie même que de se prétendre perfectible, et c’est une des particularités intrinsèques au scrutin et à la représentativité que de prétendre prendre en compte toutes les voix, ou la majorité. Retrouvons nous pour analyser en quoi nous sommes bien en démocratie, et en quoi nous n’y sommes pas bien.
(début de la permanence à 17h).

« Toute critique du principe démocratique fera naître le soupçon de flirt avec des oppositions réactionnaires ou fascistes. Car pour presque tout un chacun, le moins pire des régimes, c’est la démocratie, cet empire du moindre mal. Mieux valent des maux relatifs que le mal absolu. Et mieux vaut le mal commis au nom du bien que le mal commis pour le mal : le premier, au moins, on peut le corriger. Le dictateur torture. Le démocrate torture en réglementant la torture. »
(Gilles Dauvé et Karl Nesic, Au-delà de la démocratie).

L’idéologie démocratique est construite de telle façon qu’elle se veut non critiquable et indépassable. Et pourtant… depuis les campagnes électorales jusqu’au vote comme « expression de la volonté populaire », en passant par les modes de scrutin, on peut démonter un par un les arguments démocratiques pour faire tomber ce contrat social de son sacro saint piédestal.

Des idées de textes qui donnent des idées :
Mort à la démocratie de Léon de Mattis, en ligne ici.
des textes de Gilles Dauvé et Karl Nesic ici.
ou encore quelques courts textes .

mercredi 23 novembre à 18h : Perm’à’thème à propos de justicesvacanciers-regardant-la-justice-au-loin

Crève la justice !
Questionner radicalement nos rapports, nos conflits et les aggressions qui peuvent en découler est primordial pour éviter de s’en remettre aux flics et aux institutions mais aussi pour anticiper certaines situations. On parle souvent de justice sociale voir de justice réconciliatrice, certain.es demandent vérité et justice, la justice serait réparatrice. Des mots qui questionnent voir provoquent un peu d’urticaire chez certain.es d’entre nous parce qu’ils peuvent entrer en contraddiction avec nos principes anarchistes et anti autoritaires (dénonciations, judiciarisation, punition…). Pour autant la « gestion » ou prise en charge des situations et des conflits, parfois en amont, parfois seul.e ou collectivement, valent la peine d’être discutés, sans pour autant prétendre à trouver une méthode ou une solution implaccable face à la complexité et à la multiplicité des conflits qui nous traversent.

Quelques textes autour du sujet
1) Pour régler les comptes (Revue Salto numéro 4 août 2014)
2) Pourquoi faudrait-il punir ?(Catherine Baker)
3) Jour après jour (Violences entre proches – apporter du soutien et changer les choses collectivement)
4) Lavomatic Lave ton linge en public (dispo sur infokiosques.net)

Vendredi 2 décembre à 18h : soirée d’info sur la lutte contre la THT en Haute Durance

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Présentation par le collectif No THT 05. Infokiosque, grignotages en soutien.
Depuis plusieurs années, la lutte contre les lignes à Très Haute Tension entre Gap et Briançon s’intensifie. Les travaux ont commencé à l’automne dernier. Au delà des recours juridiques, des collectifs, des individus s’organisent face à ce projet : manifestations, blocages et sabotages se sont multipliés pour tenter de ralentir, de visibiliser les travaux et la lutte ces derniers mois.

Le mouvement contre ce projet a de nombreuses facettes. Des personnes, des associations, des collectifs assez différents s’y retrouvent et apprennent ensemble à refuser, à résister, à lutter. Des pratiques très variées se croisent et s’entremêlent (de la lettre au président de la république au sabotage nocturne).

La critique des lignes THT ne doit pas se limiter à une défense d’un territoire, mais à la critique du système énergétique donc du capitalisme et de l’Etat. C’est à ce moment là, qu’elle pourrait devenir une lutte offensive qui s’attaquerait aux infrastructures à venir et existantes.

Les lignes THT ne passeront pas!

Lecture en arpentage du livre « les Chasses à l’homme » de Grégoire Chamayou

Dimanche 2 octobre à 14h :   Lecture en arpentage du livre  
Les chasses à l’homme de Grégoire Chamayou.
Chasse aux esclaves fugitifs, aux Peaux-Rouges, aux peaux noires ;
chasse aux pauvres, aux apatrides, aux Juifs, aux sans-papiers :
l’histoire des chasses à l’homme est une grille de lecture de la
longue histoire de la violence des dominants. Ces chasses ne se
résument pas à des techniques de traque et de capture : elles
nécessitent de tracer des lignes de démarcation pour savoir qui est
chassable et qui ne l’est pas.
Si la chasse à l’homme remonte à la nuit des temps, c’est avec
l’expansion du capitalisme qu’elle s’étend et se rationalise.
L’arpentage est une méthode de lecture collective issue de la
culture ouvrière. Il s’agit de découvrir à plusieurs un ouvrage, en vue
de son appropriation critique, pour nourrir l’articulation entre
pratique et théorie.

L’arpentage est une méthode de lecture collective issue de la
culture ouvrière. Il s’agit de découvrir à plusieurs un ouvrage, en vue
de son appropriation critique, pour nourrir l’articulation entre
pratique et théorie.

Permanence exceptionnelle du Kiosque le Jeudi 7 Juillet

Cet été, le Kiosque est fermé. Finies les projs, les discussions et les temps de lecture…
La réouverture se fera en Octobre avec un programme chargé, un nouveau texte de présentation et une bibliothèque rangée de fond en comble.

En attendant la rentrée, on propose quand même à celles et ceux qui le veulent de passer profiter d’une permanence exceptionnelle ce Jeudi 7 Juillet de 18h à 20h30.

Ca sera l’occasion de venir lire des brochures sur place, emprunter ou rendre des bouquins, boire un jus de canneberge ou squatter les ordinateurs pour faire sa déclaration trimestrielle à la caf…Quoi qu’il en soit, vous êtes les bienvenuEs !

D’autres permanences auront peut-être lieu durant l’été, elles seront annoncé (peut-être parfois au dernier moment) sur le blog ainsi que sur MIA

Le Kiosque Belle de Mai
38 Rue Clovis Hugues
13001 Marseille

Programme du Kiosque juin 2016

CinéMinots :

Samedi 18 juin à 13h

Fantastic Mr. Fox, renard rusé, Madame Fox, leur fils Ash et le cousin Kristofferson défient trois méchants fermiers. Film d’animation réalisé par Wes Anderson (Scénario de W. Anderson et N. Baumbach), d’après le livre de Roald Dahl. 87 minutes, à partir de 6 ans.

Lecture en arpentage :

Dimanche 19 Juin à 14h30 (on commencera la lecture à 15h) lecture en arpentage du livre « Les chasses à l’homme » de Grégoire Chamayou.

Chasse aux esclaves fugitifs, aux Peaux-Rouges, aux peaux noires ; chasse aux pauvres, aux exilés, aux apatrides, aux Juifs, aux sans-papiers : l’histoire des chasses à l’homme est une grille de lecture de la longue histoire de la violence des dominants. Ces chasses ne se résument pas à des techniques de traque et de capture : elles nécessitent de tracer des lignes de démarcation parmi les êtres humains pour savoir qui est chassable et qui ne l’est pas. Aux proies, on ne refuse pas l’appartenance à l’espèce humaine : simplement, ce n’est pas la même forme d’humanité. Mais la relation de chasse n’est jamais à l’abri d’un retournement de situation, où les proies se rassemblent et se font chasseurs à leur tour.
Si la chasse à l’homme remonte à la nuit des temps, c’est avec l’expansion du capitalisme qu’elle s’étend et se rationalise. En Occident, « de vastes chasses aux pauvres concourent à la formation du salariat et à la montée en puissance d’un pouvoir de police dont les opérations de traque se trouvent liées à des dispositifs d’enfermement… Le grand pouvoir chasseur, qui déploie ses filets à une échelle jusque-là inconnue dans l’histoire de l’humanité, c’est celui du capital. »

L’arpentage est une méthode de découverte à plusieurs d’un ouvrage, en vue de son appropriation critique, pour nourrir l’articulation entre pratique et théorie. Méthode de lecture collective issue de la culture ouvrière (cercle ouvrier) puis réutilisée par les praticiens de l’entrainement mental pendant la seconde guerre mondiale par des résistants.

 

Cinéclub :

Après le burn-out du mois de mai, voici venu le mois de la «folie». Cinq films sur les fous, les folles, les déviantes, les anormaux, les marginales, les perché.e.s et les chéper.e.s… L’occasion d’interroger la norme, l’institution psychiatrique et l’enfermement.

Jeudi 02/06 à 20H : SHOCK CORRIDOR de Samuel Fuller (USA), 1963 (101 min).
Ambitieux, le journaliste Johnny Barrett entend décrocher le Prix Pulitzer.
Pour cela, il se fait interner dans un hôpital psychiatrique où il enquête sur une affaire de meurtre.
Jeudi 09/06 à 20H : SAN CLEMENTE de Raymond Depardon et Sophie Ristelhueber (France), 1982 (100 min).
Les patients de l’asile de San Clemente déambulent sous le regard complice de la caméra de Raymond Depardon. Caméra à l’épaule, souvent filmé en plan séquence, ce film est une évocation poétique de la vie dans cet ancien monastère converti en asile psychiatrique.
Jeudi 16/06 à 20H : JE SUIS UN CYBORG de Park-Chan Wook (Corée du Sud),
2006 (105 min).
Internée, Young-goon est persuadée d’être un cyborg. Elle refuse de s’alimenter préférant sucer des piles et parler aux distributeurs automatiques.
Il-Soon pense que tout va bien ! Grâce à son pouvoir qui lui permet de voler les qualités des gens qu’il observe, il est le seul à la comprendre. En tombant fou amoureux d’elle, il va tenter de la ramener à la réalité…
Jeudi 23/06 à 20H : LE PLEIN PAYS d’Antoine Boutet (France), 2009 (58 min).
Un homme vit reclus depuis trente ans dans une forêt en France. Il creuse en solitaire de profondes galeries souterraines qu’il orne de gravures archaïques. Elles doivent résister à la catastrophe planétaire annoncée et éclairer, par leurs messages clairvoyants, les futurs habitants.
Le film raconte cette expérience en marge de la société moderne, affectée par la misère humaine et la perte définitive d’un monde parfait.
Jeudi 30/06 à 20H : UNE FEMME SOUS INFLUENCE de John Cassavetes (USA), 1974 (155min)
Contremaître sur les chantiers, Nick est submergé de travail et ne peut rentrer chez lui pour la nuit. Après avoir laissé ses enfants à sa mère, sa femme Mabel est déprimée. Écrasée par le poids de sa famille et les conventions de la société, elle glisse doucement vers la folie…

Programme du cinéclub en pdf : programme cineclub juin 2016

 

En cette période de mouvement social / Discussions sur l’Autodéfense en manif et garde-à-vue !

c42c7a40ddf456a463eccdf8a945c5Rencontre/Discussions pour s’organiser autour de la question sur l’autodéfense en manif et garde-à-vue Dimanche 3 avril à 17h au local du « kiosque » Au 38 rue Clovis Hugues
13003 Marseille (belle de mai)
Échange et techniques,témoignages,conseils pratiques…
La répression chercher à isoler et diviser.Elles s’abat souvent au hasard sur quelques un-e-s pour frapper l’ensemble du mouvement.Elle fonctionnera d’autant moins que nous serons outillé-e-s et solidaires.
Quelles sont mes/nos limites et possibilités
Qu’est-ce que j’emmène en manif ?
Et si les flics nous chargent ?
Et en garde-à-vue

PROGRAMME DU KIOSQUE /FÉVRIER 2016

KIOSQUE FEVRRégulièrement au kiosque (Donc ce mois-ci …aussi )

Permanences de la bibliothèque: Le jeudi de 17h à 20h et le samedi de 15h à 18h.
Atelier de français : Le lundi à 18h30 et le samedi à 11h
Atelier langue des signes (LSF) : Vendredi 26 à 18h et dimanche 28 à 15h

Et pour compléter ce mois… du cinoche, de la discut ect …

Atelier d’écriture de lettres aux prisonnier(e)s /Dimanche 14 février à 14h
Viens leur écrire des lettres, écouter des émissions de radio anticarcérales et lire des lettres/déclarations de prisonnier-e-s !

Ciné-club enfants/ Samedi 27 à 13h

« Paddington« de Paul King, 2014 (95 min).
Paddington est un petit ours migrant. Passager clandestin du « fin
fond du Pérou » jusqu’à Londres. Sans-papier, sinon une étiquette
au cou : S’il vous plaît, veillez sur cet ours. Merci.
Depuis 1958, ses aventures, écrites par M. Bond, ont fait rire des
générations d’enfants. Le film de P. King est tout aussi désopilant,
pour traiter de ce qui nous touche : rêver d’une vie meilleure, partir,
s’adapter à un nouveau pays.

Présentation du guide Face à la police / face à la justice/ 12122433_1642565252685072_3612144564787215790_nSamedi 27 à 18h30
Le guide d’autodéfense juridique paru pour la 1ere fois en 2007 aux éditions l’Altiplano a été repris, actualisé et augmenté par le collectif Cadecol.
Ce guide donne des outils pour assurer sa défense, sans se cantonner à l’aspect légal .Le but est aussi d’éviter de laisser l’individu isolé face à la justice.
Face à la police / face à la justice n’imagine pas que connaître la
procédure pénale soit une garantie absolue pour celles et ceux qui se sont fait arrêter. Mais décrypter son langage et son idéologie permet de se repérer dans les méandres des dispositifs de répression.
Des exemplaires du guide seront disponibles à prix libre lors de la soirée.

Assemblée du kiosque : Dimanche 21 à 14h

Toutes les activités sont gratuites ou à prix libre